Monsieur l’illuminé, je vous écrits une lettre que vous ne recevrez pas peut-être même si je vous l’adresse en courriel.
En notre nom, sans rien nous demander, vous avez déclarer la guerre et vous nous avez entraîné, comme l’un de votre prédécesseur bien passé, dans une drôle de guerre la fleur au fusil.
Fort de votre équipe d’experts, vous nous avez baladés sans masque en nous demandant d’accepter de marcher au pas pour continuer à travailler.
Mais vote ministre qui n’avait plus la santé était partie ailleurs vivre au bon air.
Du moins le croyait-elle, puisque l’illusion a fait long feu comme la Covid-19 qui s’est amplifiée.
Comme le gouvernement est rempli de grosses têtes bien fournies, l’imagination a été de mise : les français seront sous la tutelle d’un confinement total comme les autres pays mais en moins bien et surtout moins efficace.
Bien sur, il a été demandé aux forces vives de la nation qui exerçaient des fonctions indispensables à la vie de la collectivité de continuer à travailler comme si de rien n’était.
Rien, est certainement le mot puisque, notamment les personnels soignants, tout le monde manquait de tout.
Et les grosse machines à penser gouvernementales ont tout d’un coup pris conscience que la majorité de note essentiel été produite ailleurs et surtout dans le pays d’où sont partis nos ennuis.
Si même les résultats escomptés n’éraient pas vraiment au rendez-vous, vous avez souhaité que les français reprennent le chemin des transports en commun bondés et la vraie vie en vacances pour relancer l’économie.
Santé vs économie, ça n’a pas de sens.
Mais chez vous le sens n’est pas forcément celui du vent.
Aussi dès la rentrée vous avez fait mine de vous fâcher contre ces jeunes qui se sont rappelés que leurs désirs n’étaient pas forcément ceux des vieux, même s’ils les aiment bien, ou en tout cas fortement décuplés.
En conséquence, le couvre-feu a été décrété en couvre-chef d’actions dérégulées par des possédés de l’économie libérale qui ne comprennent rien au savoir être et vivre ensemble de la population.
Si on en sort, il vous faudra bien rendre vos comptes car vous le valez bien.