Les gens du nord

Au moment de l’obligation quasi généralisé du port du masque, certains politiques le baisse.

Tel ce gars du Nord qui profite du temps quasi mort de la couverture medias pour mieux se faire entendre par ceux qui doivent recevoir son message.

Celui que les gens du Nord trouvent social est jugé trop médian par ses collègues trop jaloux de la vitesse prise lui donnant trop d’avance sur la concurrence.

Mais plutôt qu’un 100 mètres, il s’agit d’un marathon dont on verra bien s’il s’en sort ou s’il fait pschitt.

c’est bien dans les entreprises, lieux clos ou non, que les clusters se développent.

Ainsi est confirmé la dangerosité de  ces endroits sauvages gouvernés par un adorateur du veau d’or.

Dans tous les cas, les jeux sont faits.

Les politiques dans leurs sur-enchères habituelles en matière de sécurité ont décidé d’imposer le port du masque alors que les scientifiques disent que cela ne sert à rien lorsque l’on est à l’extérieur.

Mais, les politiques s’en foutent.

Ils veulent transformer les autres, surtout pas eux, en robots qui seront gentils dociles.

Ce n’est pas un complot, mais l’essence même du politique qui ne pense qu’à lui : qu’est-ce que je suis beau !!! Toutefois, l’illuminé, premier de cordée entre tous s’il en est, avait bien tout prévu.

Rappelez-vous, il a toujours entendu considérer la France comme une entreprise.

Étant donné que le virus pollue ces secteurs transformés en premier clusters loin de tous les autres, il est normal que les français soient masqués jour et nuit où qu’ils soient h24 comme l’on dit aujourd’hui.

Le gars, cravaté comme un lord ce qui n’est pas forcément une tare, affirme, en sa qualité d’élu, faire les rues de ses quartiers sans avoir jamais rencontrés de personne ayant difficulté quotidienne à se fournir en masques sans gréver son budget.

De plus, comme il fait partie de la majorité, il confirme l’utilité logique pragmatique d’exclure désormais du chômage partiel puisqu’il aurait été peut utilisé pour les aides à   domicile.

 Et tant pis pour celles qui en bénéficiaient…

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