Ils avaient, ces médecins sachant tout sans être fous, dénoncer ces hordes qui débordaient dans les jardins ouverts sans port du masque.
Il est vrai qu’ils avaient hurler avec les loups devant le peu de masque qu’il y avait alors à portée.
Quelques uns s’étaient bien élevés pour dire que cette protection était inutile en extérieur puisque qu’aucune étude n’avait constaté de contagion par ce mode.
Au contraire, celles diffusées de manière éparse confirmait la non contagion externe.
Dans les fait, c’était le non respect de la distance géographique qui était responsable.
Et encore fallait-il rester face à une personne atteinte pendant plus de 10 mn pour encourir le risque d’être atteinte par les molécules déversantes à grande vitesse mais à faible distance.
Par contre, il était bien certain que la promiscuité était la grande faiblesse.
Désormais, le gouvernement a tout compris, et à l’oral a bien exprimé la nécessité d’un reconfinement à l’air libre.
Limité à champs d’action de 10 km, mais tout de même on est loin de la prison dont les médecins sur de leur science incertaine, voulaient nous enfermer bien portants.
Et vous pourrez même en musique lire chez votre coiffure.
Ces activités étant devenus essentiels à la bonne vie des gens.
Bien sûr, les autres commerçants en ont marre de se voir rappeler qu’ils ont choisi un métier gadget.
Douce France où les directeurs de certaines maisons de retraite ont reçu une bien étrange directive qui ne cache pas sa tristesse.
Tous les résidents ne s’étant pas fait vaccinés seront assignés à résidence.
Autrement dit la non obligation n’est pas pour tout le monde.
En somme, il s’agir d’un endroit carcéral dans l’attente de terminer le chemin vers la mort.
J’ai comme l’impression que les personnes touchées par cette attitude liberticide devrait porter plainte d’une telle mesure choisissant sans autre formalité ce que sont les restriction des libertés.