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Le réemploi c’est capital (bis)

Ainsi donc, le Cdi, entre autres, permettrait d’obtenir gracieusetés diverses auprès de saigneur banquier à l’affût d’une bonne affaire.

Mais, il lui faudra peut de temps pour être obligé de constater l’arnaque patronale à ce sujet de faux contrat stable de travail de basse échelle.

Le Cdi est, désormais, le statut le moins protecteur pour le salarié puisqu’il peut être viré sans perte imprévisible pour le patron mais avec beaucoup de fracas pour le futur sur-endetté à venir.

Et cela grâce à celui qui s’est fait nommer premier de cordée qui n’a de cesse à rendre la vie de plus en plus aisée et agréable aux riches et de plus en plus serviles pour les bas de l’échelle sociale qui reçoit de plus en plus de monde à sa base.

Et, après cela, une fois passé le temps de l’admiration d’une hausse de création des emploi équivalente à la croissance économique, l’on s’inquiète sérieusement de ne pas constater une augmentation fulgurante de la productivité du monde du travail.

Dis pourquoi monsieur l’observateur qui s’arrête au bout de ton chemin lumineux ? Ose le dire, toi qui sait tout.

Les emplois créés en masse sont ceux des petites mains que les robots ont encore trop grosses pour les remplacer efficacement ; un exemple comme en mille : le robot ménager que l’on pose par terre en croyant le vendeur commercial qu’il nettoierait tout sur son passage.

C’est bien vrai comme aurait dit la mère Denis, sur une surface plane en pièce vide.

Mais, voilà, lorsqu’il y a canapés, chaise, tables, meubles, voire tapis, rien ne vaut l’efficacité de la bonne femme de ménage qui sera massacré après 15 ans de bon ouvrage juste bonne à attendre une retraite que le premier de cordée aura considérée comme méritée juste avant le jour précédant son grand départ.

Et encore, à propos de ces belles créations, n’avons-nous pas le temps de parler du super bonus du statut d’auto-entrepreneur qui créé une chaîne à l’appréciation du commanditaire tout en lui assurant une bonne servilité à prix cassé tant la concurrence est forte.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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