Le droit
D’une pub qui se croit sportive de dire que rien ne peut remplacer une victoire.
Moi rentrant en compétition, de dire si l’argent en or qui va avec.
En espérant n’avoir déçu personne confortablement installé sur ma chaise de bureau – le canapé sera pour un autre jour, tant j’ai peur de ne pouvoir me relever.
Il y avait fête à la ville qui se faisait village de Noël tout petit pour être intime et éviter certains désagréments.
Une occasion de vérifier les commerces changés, ceux qui ont tenu, les autres remplacés.
Il en est de même pour les boites en bois chargé d’articles d’artisanat vus de partout accompagnés de foies gras se fourrant dans certains magrets qui confirment l’approche des fêtes d’hiver pour nous autres les oies servant à gaver nos marchands.
Des boutiques de luxe s’ouvrent en ouverture sur des prix faisant croire que tous les badauds sont assujettis à l’Isf.
Des soldes appelant à la vente illusoire de tailles bien trop grandes pour satisfaire le général, mais j’ai d’autres articles non soldés bien entendu.
C’est bon pour le commerce, c’est bon en conséquence pour le client qui peut être aussi cliente.
Et puis un cadeau, c’est un cadeau, qui aime ne compte pas.
Ce n’est pas comme ces députés qui renâclent contre une baisse de leur pouvoir d’achat qu’ils ont été rechercher en connaissance de cause.
La volonté de pouvoir vaut bien un sacrifice.
Encore fallait vraiment pouvoir l’évaluer.
Il suffisait de le demander à ceux à qui l’on a retiré des subventions en criant sous et sur tous les toits que cela ne comptait pas vraiment à qui savait faire les comptes.
Un député a cru pour une bonne cause défier la loi pourtant votée par l’Assemblée en son temps.
Les associations concernées veulent faire pétition pour que la sanction affligée à l’insoumis soit levée.
Soit, c’est pour une bonne cause du petit qui ne peut être aussi fort que le grand dans le monde sportif.
Mais, il savait ce qu’il faisait en faisant cela.
De quel droit aurait le droit de ne pas respecter le droit ?