Tout ce qui n’est pas d’elle, à l’égocentrique de la capitale, n’est pas digne de son aide.
Elle n’aidera pas la gare du nord à s’envoler d’un projet qui permettrait un réaménagement sain de son intérieur et ses extérieurs.
S’il y a des choses qui ne lui convient pas, elle aurait pu agir bien en amont – mais qui alors a réussi à amender le projet en moins de foire commerciale et plus de vélos ? Ce qui est bien – quand on sait la difficulté d’un accord serein avec l’architecte de France pour un lieu historique ! Bien entendu, étant donné la densité de la capitale mettre en plus 150 arbres en poumon de quartier c’est pipi de chat comparé à ce que l’on ne fait pas.
Et puis, la Tour Eiffel a été en son temps décrié, tout comme le trou naguère des Halles, le kiosque à musique coloré implanté pas très loin.
Mais qui voudrait, aujourd’hui les voir ailleurs sinon disparaître ? Son recours en justice administratif risque fort de ne pas pouvoir prendre le train des JO à temps.
Mais peut-être est-ce une volonté grotesque de jalousie que ce soit la cité d’à côté qui a été choisie : elle a sans doute vu rouge ! Le drôle de pactole de 100 milliards dont la plus grosse partie revient aux entreprises est une ineptie puisque sans aucune autre contrepartie que de vagues promesses dont un ancien disait tout le mal qu’il en pensait.
C’est un peu comme la réduction des charges patronales, les aides de toutes sortes aux investissements de recherche et autres allant jusqu’à certaines baisses de tva dont on a bien compris dans quelles caisses elles étaient tombées.
Par contre, le marché de l’emploi lui va bien toujours fourni en chômeurs attendant un meilleur sort d’un emploi à la petite semaine pour ne pas se croire installé.
Et les caisses sociales de pleurnicher de trous toujours plus béants…