Laisse moi faire fortune  pour le ruissellement

Quand un très fortuné dit que son dieu lui a donné du talent pour gagner de l’argent, beaucoup d’argent, l’on peut penser que ce dernier doit se retourner dans son ciel même si le riche questionné donne toute sa fortune aux déshérités tout en déshéritant ses propres enfants au passage.

Ces bonnes manières de petit bourgeois à l’aise me feraient sourire si l’heure n’était pas aussi grave.

Voici donc un monsieur qui a fait plein d’argent, et continue à en faire, environ 160 à 240 millions d’euros par an pour 800 millions d’actifs.

Quand on connaît le taux de placement moyen de la population moyenne, la question reste posée.

N’a-t-il pas ce monsieur quelques inquiétudes sur la qualité de son savoir-faire ? En tout cas, il sait fait savoir, lui qui est ravi de faire mieux que les plus nantis que lui, il ne vise personne mais les nomme, en affirmant être le seul à donner tous ses actifs même si la donation est moins forte que ses concurrents hors sol.

Et il a un super beau comportement que d’avoir fui la France pour échapper aux rapaces socialistes d’alors.

Et, comme par hasard, il s’est introduit en Belgique… Je n’aime pas son dieu, et cela peut-être réciproque, mais, à la lecture de ses soi-disants écrits ou propos rapportés rapportés par ses apôtres (aujourd’hui on parle de plus proches collaborateurs ou direction générale) , je doute fort l’attitude de cet homme plaise.

Elle serait plus proche de l’adoration du veau d’or.

Mon enfant, si tu veux réussir dans la vie, il faut rentrer dans la grande compétition où les gagnants sont peu nombreux.

Mais même si tu n’es pas le premier, évite au moins d’être comme les miséreux.

Tu pourras toujours te régaler à faire croire que tu les aide par charité bien ordonnée commence par soi-même.

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