La vérité vient d’en bas

Les capitalistes purs de droite extrême et libérale jettent les masques. Il vaut mieux que tout le monde soit au travail même mal payé que des inactifs bons consommateurs.

Les 20 plus riches mondiaux plaident dans une tribune pour être plus taxés de manière permanente.

Or, les mêmes, patrons et gros actionnaires de grosses entreprises, refusent de payer sur les bénéfices sur chiffre d’affaires.

Alors, sans doute, sont-ils de façon personnelle terrés dans des paradis fiscaux pour particuliers.

Le premier collaborateur du premier de cordée qui sait comment faire traverser la rue aux autres tout en restant dans son confort de caste, a parlé, et suspens, demandé la confiance du parlement dont il a la majorité.

C’est-à-dire qu’il fait fi comme tout le monde, mais il faut savoir le dire, l’impasse sur l’opposition qui n’a droit qu’à voter non et se taire.

Mais l’homme, obéissant à son maître, est ravi de croire qu’il a pris de ci, delà, un bout de demande de chacun des partis pour couper l’herbe sous les pieds de ses contradicteurs.

Au passage, ce n’est pas très écologique.

Il a dit qu’il allait combattre le communautarisme religieux tout en levant le doigt pour appuyer son propos.

Sans doute le doigt était-il mouillé.

Le commissariat au plan est de retour ; sans doute l’occasion pour le maître des lieux illuminé d’offrir un fauteuil à son copain dans ce nouveau fromage de la République.

D’une sortie privée d’avec son épouse dans un parc bien huppé des beaux quartiers de la capitale, l’illuminé s’est fait reconnaître par des gilets jaunes qui venaient flâner après avoir manifesté leur mécontentement dans les rues d’  à côté comme il se doit.

L’un deux a rappelé que l’on est toujours le collaborateur de quelqu’un et lui a envoyé dire qu’il était son employé.

Bien sûr, cela aurait put s’échauffer mais le premier de cordée s’en est tiré par un rappel à plus de prudence.

Par contre, l’homme jaune s’est trouvé fort étonné par tant de bagouts présidentiel.

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