La santé, c’est passé
J’avais parlé d’un temps que les plus de trente devaient connaître : le vin est bon pour la santé.
Cela va sans dire au moment des foires aux vins éclatant partout dans toutes les chaînes de grandes, petites, distributions généralistes ou spécialisées ; avec modération comme il se doit.
Mais, voilà que, patatras, une nouvelle étude réalisée par une association dénonce la présence de souffre et de sulfate qui serait nuisible à notre bonne santé même si de l’avis même de ces analystes le nuisible n’est pas vraiment prouvé.
D’ailleurs, la souffre est connaît depuis très longtemps et c’est ce qui fait mal à la tête dans les mauvais vins en comportant trop et c’est souvent le cas des vins blancs.
Le souffre est bon, indispensable, pour la conservation du précieux liquide qui permet de mettre en cave les bouteilles et nous rend fiers de les (re)sortir quelques années après : t’as vu comme il est bien conservé ?
D’ailleurs même le bio ne peut s’en passé, c’est vous dire.
Pour la deuxième trace, certes existante, la présence ne semble pas assez prégnante pour s’empêcher de taster.
Mais, il est demandé que son taux soit indiqué clairement sur l’étiquette de la bouteille comme le degré d’alcool.
Et alors ??? S’il a eu des difficultés à composer son nouveau gouvernement avec celui qui paraît comme le nouvel homme fort de la politique droitière, l’illuminé continue à placer quelques uns de ses proches à des postes convenant bien à des gaulois aimant le fromage.
Ainsi une énarque de plus cela fera un polytechnicien de moins.
Ainsi va la vie politique avec ses revois d’ascenseur dont on se fout qu’il soit ou non social.
L’entre soi est le meilleur moyen de rester entre soi et tant pis pour ceux qui n’en sont pas : ils avaient qu’à mieux hériter ou choisir autrement leurs parents.