La résilience a du bon

Chouette, on tenté nous faire vivre économiquement comme les fous d’Outre Atlantique où seule compte la consommation, la plus grande si possible.

Désormais, l’on voudrait nous faire vivre en santé comme dans les pays asiatiques, plus particulièrement la Chine rouge sang.

Mais, rappelez-vous, l’on a également essayé de nous faire vivre socialement comme l’homme à la petite moustache le souhaitait.

Malgré, les saluts et bises faits à tout le monde par nos dirigeants politiques, le gaulois a tout surgit avant qu’il ne soit trop tard.

Est-ce que à ce jour nous sommes capables de toujours en faire autant ? Ne me faites pas dire ce que je n’ai jamais dit.

Mais, force est de constater que lorsque le capitalisme outrancier va mal, il se transforme en un redoutable insoumis à faire pâlir celui qui se croyait seul souverain à gauche.

Rendez-vous compte, le gouvernement dépense sans compter pour le seul soulagement de ses citoyens qu’il estime à leur juste valeur.

Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il s’en fiche royalement puisque le remboursement de cette doctrine de gauche « quoiqu’il en coûte » sera remboursé quand il ne sera plus aux manettes.

Mais, tout de même, cela permet d’amortir la chute de ceux qui pourraient tomber dans la misère la plus sombre.

Même, si à force de trop de trou dans la raquette, nombreux sont ceux à terre à côté du matelas social.

Mais, comme ces gouvernants ne veulent pas retirer le sparadrap de leur étiquette droitière, ils ne veulent pas entendre de revenu universel qui ferait tache à leurs yeux embués.

Toutefois, et c’est heureux, applaudissons la nouvelle mesure criée sur tous les toits médiatiques.

La création d’un revenu minimum mensuel pour les travailleurs précaires.

Bien sur reste à en déterminer les contours, notamment comprendre l’expression «  qui travaillaient significativement avant la crise ».

Mais ne gâchons pas notre plaisir d’autant que l’on peut être certain de l’attention des vrais de gauche pour qu’une réalité positive significative porte ses fruits jusqu’au terrain où les attendent les désormais non-laissés pour compte.

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