La peur l’emporte sur le Covid-19
La démocratie risque de perdre en taille. L’extrême droite extrême risque fort d’être mise en liquidation pour n’avoir pu (!) payer les dommages et intérêts dus à un ancien salarié qui n’avait pas eu tort, contre les apparences, de dire tout haut ce qu’il avait ruminé tout bas.
Et ce ne sont pas les réserves en mauvais rouge foncé qui leur sauveront la face.
Mais où donc vont aller les brebis de ce parti exilées ? Puisque cette épidémie va s’étendre, il faut bien me rappeler de son appellation personnelle permettant de l’identifier parmi d’autres coronavirus.
Comme tout le monde, nous parlerons donc du Covid-19 qui reste cependant perdant vis à vis de la contagion de la peur qui se répand partout.
Il faut dire que ce virus s’étend nettement moins que celui de la grippe dont tout le monde s’en fout avant d’être atteint.
Maintenant, c’est devenu une mode de dire bonjour en « cheickant » au lieu de la bonne vieille tradition française de la poignée de mains ou anglo-saxonne qui avait commencé, surtout sur les lieux de travail où se trouvent tout vos bons amis, le claquement de bises où seuls se côtoient les frottements de joue, histoire de vérifier la qualité du fond de teint de l’autre.
Mais bonne nouvelle, les carnavals auront bien lieu puisque tout le monde y participant porteront des masques.
A ce jour, en France, peuplés de quelques 67 million d’individus plus des clandestins et travailleurs au noir, il y a 285 personnes touchées avec 15 cas graves, ce qui est toujours malheureux pour les concernés et 4 morts désastreux pour les familles conservées.
Mais pour autant est-ce que la peur de vivre ensemble doit être le symbole de nos vies actuelles ? Même les protégés d’un la-haut présent aux abonnés de l’illusion ont été lourdement frappés.
Mais, visiblement, ils se sont éparpillés pour annoncer la nouvelle d’un monde meilleur.
