Les temps sont durs. Le client est à la peine. Il faut donc chercher l’oiseau rare pour enfiler les perles.
Ceci explique sans doute cela.
Voici le style d’annonce reçu ; « Locataire, en Cdi, devenez propriétaire… ».
Les autres, restez où vous êtes.
On ne vous a pas appelé.
C’est la loi des priorités.
Et tant pis si vous êtes la grande majorité.
Nous recherchons le cas unique.
Les écolos sont toujours eux-même d’un n’importe quoi pour se faire remarquer.
L’un d’eux en conseil municipal récuse une subvention pour un yacht club.
Il pensait avoir affaire à de gros bateaux pour gros riches.
Perdu de vue que la cotisation est de 60€ par mois et qu’il s’agit de petit voilier.
Bien sûr ils arrivent aux adhérents de sortir en mer bretonne.
Alors que le conseiller municipal reconnaît sa bévue de n’avoir pas potassé son dossier, une de ses collègues de son parti que l’on sait unitaire, se prend le défendre sans avoir maille à partir.
Elle ne fait pas dans la dentelle, elle confirme que le vote écolo sera négatif car pour aller en Bretagne, le coût polluant est trop élevé.
A ce compte, si l’on a bien compris, les sports dans les stades trop éloignés de chez vous seront interdits d’accès puisque vous risquez, pour vous y rendre, de prendre une voiture polluante.
Par ailleurs, la personne s’étrangle qu’il ait été demandé au conseiller municipal de s’expliquer.
Elle pense qu’elle n’a pas à donner les raisons de ses choix.
C’est vrai que ce n’est pas obligatoire.
Mais la démocratie dans tout cela, pourquoi ne pas faire savoir aux électeurs de tout bord les raisons de ses prises de décisions qui concernent tout le monde.
L’on comprend que les écolos crient au complot de voir que seules leurs bourdes sont mises à jour.
Alors qu’ailleurs, d’autres conseillers municipaux d’autres partis en font d’autres.
Mais, tout de même, si les écolos prétendent prendre poste au gouvernement, il faut qu’ils donnent des gages de leurs compétences pas comme ceux d’en marche d’hier…