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Juste pour assurer

Visiblement l’assurance, ou plutôt les assureurs, reste percluse de rhumatismes l’empêchant de vraiment réellement se moderniser pour être dans l’air du temps.

Du haut de sa position dominante, elle brasse des tonnes de données issues de ses dossiers contrats et sinistres.

Elle peut depuis des lustres accorder la mensualisation des ses primes pour les privées, de ses cotisations pour les dites « mutuelles ».

Il y a déjà longtemps au temps où le temps passe si vite à démoder ce qui est en cours de réflexion, une petite avait même eue l’audace de créer, parmi d’autres énormités, un échéancier mensuel regroupant l’ensemble des contrats souscrits pour un assuré ou sociétaire dans l’espèce puisqu’il s’agissait alors d’une vraie mutuelle sans ses dirigeants.

Mais non, incapable de gérer correctement ses services informatiques véritables rois même si dépassés par les financiers.

Alors, il vaut mieux investir d’ans une autre petit entreprises qui risque de rafler la mise.

Actionnaire dans une société nouvelle d’assurances, c’est déroutant, mais quand il s’agit d’une dernière mutuelle qui en avait gardé l’esprit, c’est vraiment désespérant.

Mais c’est devenu une vrai culture française : faire confiance à la machine avec le minimum de salariés en poste pour gagner encore plus.

Cela ne sert à rien, et l’on ne voit pas comment cette belle pourrait avoir l’esprit mutualiste qui reste le propre de l’être humain.

Mais, oui, humain, il faut le rester pour peu que l’ont ait été un jour donné.

Tenez, la parité par exemple, il semblerait que les femmes soient encore plus riches que les hommes puisque ces derniers sont encore obligés d’aller travailler.

Lorsqu’ils e s’obligent pas les bienheureux, à préférer aller pointer au chômage pour ne pas oublier leur dernier licenciement volontaire.

Tenez, à propos fort bien nommé, savez-vous que de plus en plus de tribunal Prud’homal refuse d’appliquer le barème Macron sous prétexte que le préjudice ne peut être connu d’avance même en cas de licenciement abusif.

Si l’on ne peut plus aider tranquillement ses copains, mais où va-t-on, où va-ton ??

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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