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Jetable ou lavable faut me jeter

Le masque c’est bien, vraiment bien, super, super bien. Mais à quoi sert-il donc cet accessoire ? A éviter d’attraper le covid-19 ma petite dame.

Ha bon, mais, car il y a un mai partout comme dans l’année écoulée, en cours et à venir, encore faut-il avoir la bonne technique.

Tout d’abord votre masque n’est pas de meilleur apparat pour faire joli dans les salons.

Il doit impérativement être fait de tissus qui évite que le malin ne passe.

Car, rappelez-vous ce malin est partout.

Il adore les espaces confinés où il prend plaisir à rester en suspend dans l’attente du prochain nigaud prêt à l’embarquer pour d’autres horizons.

C’est pourquoi il n’aime pas du tout les espaces aérés qui l’exaspèrent d’exister.

Mais, la chance est qu’il peut-être projeté à peu de centimètres dans le cas de parole doucement prononcées jusqu’à plus de 4 mètre si l’autre éternue avec franchise.

Bon, d’accord, encore faut-il qu’il y ait quelqu’un en face et que le jeteur n’ait pas respecter l’un des gestes barrières consistant à faire dans le creux du coude et pas forcément là où ton chef hiérarchique te dit de faire.

Si vous le faîtes vous-même pour la tendance qui est mode ou question euros à sortir trop fréquemment, veillez à le choisir efficace.

Et il est inutile de donner autant d’importance sur les tutos fait à l’emport-pièces sur certains réseaux.

Vous l’achetez, vérifiez que la mention Cee y soit non pour s’assurer de certitude aléatoire de fabrication ailleurs que chinoise, mais qu’il ont été vérifiés… Mais, ne vous inquiétez pas, le plus dur est à venir.

Le masque ce n’est pas carnaval, il faut savoir s’en servir.

Par la brettelle et non de face pleine mains vous le mettrez et le retirerez.

Cependant, si vous le mettez dans votre poche il vous faudra bien vous laver les mains avant d’y retourner chercher fortune.

Enfin, le jetable a une durée nettement plus courte que le tissus.

Moi, je le jette définitivement dans une poubelle appropriée pour éviter de déraper dessus sur le pavé.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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