Vouloir prendre en charge sa vie, quelle indécence. Vouloir disposer librement de son corps, quelle indécence.
Vouloir décider de ce qui est bon pour soi, quelle indécence.
Vouloir décider de sa mort, quelle indécence.
Vouloir, toujours vouloir, mais que veulent donc les français et françaises ? « Quelle indécence vont-il encore nous demander ?» se disent les politiques de tout poils (peut pas dire de chameau car il paraît que l’animal se sent rabaissé.
C’est trop bête).
C’est bien vrai ça, les militaires l’ont bien compris.
Les français(es) n’ont font qu’à leur tête.
Et c’est bien pour cela que dans leurs rangs bien alignés ils ne veulent en voir qu’une.
La leur comme un reflet d’un pays bien colonisé, heu pardon, discipliné.
Au fait, un grand garçon avait dit à plus petit, ça ne l’avait pas grandi, que « vous n’avez pas le monopole du cœur ».
Alors pourquoi est-ce que l’extrême droite pas rassemblée n’aurait pas le droit de festoyer avec les vraies idées de gauche ? Surtout que la gauche à part peut-être encore des idées de penser, elle n’est même pmus capable de panser les plaies des salariés devenus de plus en plus des variables d’ajustement pour des ultra-riches pas prêts à ruisseler ou alors il faudra les payer très cher.
Le démocratie est une chose.
Enfin la droite extrême se dévoile.
Jusqu’à maintenant, elle se cachait derrière son nouveau nom pour effacer l’ancien comme une tache ignominieuse.
Maintenant, elle n’hésite pas à rappeler son passé héroïque pour appeler, en refaisant l’histoire comme à son habitude, ce qu’elle décrit désormais comme les idiots utiles qui l’on combattue.
Mais, il est vrai qu’il est plus facile de battre deux qui ne sont plus sur la scène politique dont un a déjà fort à faire à déjouer les mauvais tour de son cancer.