Imagine
A l’instar d’un groupe célèbre, les vendeurs, commerciaux à la petite semaine festive du marketing roi de la communication, certains font beaucoup pour vendre leur sauce dont les ingrédients sont toujours les mêmes.
Ainsi, un illustre journal qui se croit Capital, titre e Une d’une accroche d’annonce : « Secousses fiscales pour les ménages ».
C’est beau de vouloir à tout prix relier ce que nous savons déjà à des événements cruels qui nous prouve que la nature l’est bien.
Bon cela ne mange pas de pain, certains continueront d’ailleurs d’en être privé, et nous attendons toujours l’artiste de faire, comme les cuisiniers, un vrai plat d’artiste avec ce que le ménager achète, quand il le peut, tous les jours pour survivre.
Parmi ces mesures dont il est bon, néanmoins, de rappeler l’excellence de la gouvernance pour riches de l’impérieux élu démocratiquement, j’en pointerai une qui m’a l’air bien bonne.
Les licenciements – oui, je sais je fais une fixette et vais aller illico presto chez mon psy que je ne connais pas – dont les montants indemnitaires sont désormais barèmés, c’est-à-dire sans surprise aucune pour qui sait compter M. le comptable des grandes entreprises…
Et ho surprise, la quasi totalité est en hausse et le plancher de l’année est pulvérisé par 8 mois d’ancienneté pour commencer y avoir droit, Miam…
Toutefois, regardez bien avant de vous y laisser prendre, si vous le pouvez, aucun changement réel pour ceux ayant l’avantage d’une convention collective, cela sert les syndicats, plus avantageuse.
Il n’y a qu’aux Prud’hommes que vous ne pourrez plus prétendre au jackpot.
Et, ainsi, si vous n’êtes pas content, et votre ancien patron de même, ce dernier pourra vous faire lanterner avant de toucher une mise certaine.
A ce sujet, petit rappel d’un passé assez récent : comme indemnités vous avez touchées, celles concernant votre chômage, car dans la majorité des cas, sans histoire, il y aura, risquent de ne commencer qu’au bout de 6 mois qui peuvent tout d’un coup devenir très longs…