Si vous avez lu mes deux premières sur le sujet, peut-être continuerez-vous la poursuite de la lecture de cette aventure.
Je l’affirme haut et fort, ces libéraux à la pensée financière sont des escrocs au même titre que certains d’extrême droite qui tentent se faire passer pour de bons vieux notables de droite même si extrême.
Quitte à changer de patronyme pour le bien être de leur genre humain.
Escrocs, car au lieu de dire, comme naguère une banque en cours, « votre argent m’intéresse » et ne touchez pas à mon grisbi, ils tentent pour tous les moyens abusifs de faire croire qu’ils sont victimes d’un populisme dont les gouvernements, qu’ils soient de droite trop sensible ou de gauche exécrée, ne peuvent les débarrasser.
Ils savent très bien ces gens la que trop c’est trop même partis sous les tropiques.
Ils savent bien qu’ils sont obligés de se refréner au risque de voir sauter à leur cou les gilets jaunes, autrefois les sans-culotte, autrement dénommés les sans-dent par un ancien qui avait oublié sa façade de gauche, prêts à les embraser même symboliquement.
Alors que, il faut bien nous le rappeler, les riches ne font pas semblant d’appauvrir les pauvres jusqu’à un minimum atteignant le maximum d’une conscience capitalistique qui veut que quand c’est trop c’est, voir plus haut.
Ils savent aussi, que même si ces classes laborieuses, dont ils ont tant besoin surtout dans les jobs de première, deuxième et troisième ligne, les autres on les enferme de force chez eux à travailler pour leur bien être, n’ont pas les portes grandes ouvertes de leurs classes supérieures, ils ont forte culture et un Euro reste pour eux un sou bien (dé)compté.
Aussi savent-ils l’importance des matelas sociaux installés en France qu’ils sont bien obligés de dire qu’ils doivent être maintenus même s’ils (re)cherchent à faire payer d’autres qu’eux l’enveloppe correspondante.