Ils étaient tous condamnés du Dr Yann Tiberghien chez les Presses du Châtelet

Les Presses du Châtelet nous proposent “Ils étaient tous condamnés” (11 récits de guérisons inexpliquées) du Dr Yann Tiberghien.

Médecin généraliste sur l’île de Saint-Barthélemy, dans les Caraïbes, le Dr Yann Tiberghien pratique également l’homéopathie et l’acupuncture, avec l’ambition de créer des ponts entre la médecine occidentale moderne et les techniques de soins alternatives, afin que le monde médical puisse améliorer les méthodes de prise en charge des patients.

Dans cet ouvrage, le Dr Yann Tiberghien nous présente, dans une première partie, 11 cas de femmes et d’hommes atteints d’une maladie incurable, d’un cancer, conduisant indiscutablement à la mort, et pourtant, ils ont guéri sans que la médecine traditionnelle y soit pour quoi que ce soit et reste dans l’incompréhension de ces guérisons.

Puis, dans une seconde partie intitulée “Analyse et interprétation,” l’auteur nous explique son point de vue, selon lequel “si la médecine conventionnelle offre de grandes opportunités de soins et ne doit en aucun cas être rejetée en bloc, elle ne devrait plus être l’unique ressource des malades.”

Concrètement, le docteur Yann Tiberghien raconte les parcours hors du commun de dix hommes et femmes que tous croyaient condamnés, mais qui sont parvenus à se relever et à guérir du cancer en suivant des sentiers différents de ceux proposés par la médecine traditionnelle.

Leurs chemins salvateurs sont divers : groupes de prière, pèlerinage à Lourdes, rencontre avec le divin, profond travail sur soi… Mais ils ont deux points communs : une quête de sens et la volonté de prendre en main leur guérison.

Il y a deux manières d’apprécier cet ouvrage :

• En étant incrédule, non-croyant, la lecture des onze cas pose des questions, on peut même douter de la véracité des diagnostics (l’erreur médicale qui diagnostique une maladie qui n’existe pas).
• En étant croyant, le docteur Yann Tiberghien ouvre des pistes du possible face à des situations de maladies incurables.