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Il faudrait savoir

Encore un qui râle parmi tant d’autres du changement à l’éducation nationale.

Ce qui prouve s’il fallait une preuve la difficulté de ce portefeuille.

L’hypocrisie veut que personne n’a vraiment pas grand-chose à dire sur le nouveau patron sauf les lieux communs de l’opposition.

Mais tout le monde déteste le départ de l’ancien tant il avait fait chose commune lorsqu’il était en exercice.

Comme quoi selon la manière de présenter le micro, le journaliste fournit une autre interprétation comme la façon dont les questions sont posées pour un sondage forcément objectif.

Déjà le souci avait été de mise avec le Bouvard des ondes que des jeunes patrons entendaient envoyer à la morgue avant l’heure.

Il a fallu le soulèvement d’auditeurs en nombre avec quelques puissants agissant dans l’ombre pour le sauver quelques temps.

Désormais c’est le tour du présentateur vedette qui faisait croire à ses invités que les champs c’étaient Cannes illuminée.

Maintenant, on lui dit de passer sur la chaîne régionale et toujours le dimanche.

Mais comme pour un journaliste obligé de quitter l’audience de son journal de 12h à 13h pour passer l’après-midi avant son départ définitif, il devra se contenter de l’os donné à ronger.

Ce n’est pas forcément inhumain dans de ce monde de bêtes sanguinaires qui ne nous veulent pas forcément du bien.

L’on s’était naguère gaussé que l’ancien clown triste auguste d’Outre Atlantique puisse être élu avec nettement moins de voix que son adversaire pourtant battue.

Pas de cela chez nous avait rétorqué de bonnes âmes consultantes.

Et c’est sans doutes pour cela que personne, ou presque, n’avait tiqué de voir à l’assemblée une nette majorité pour le président alors son nombre de voix était bien inférieur à celui dont bénéficiait l’une de ses adversaires.

Et, ne pensez pas que le souci vienne des femmes ainsi (mal) présentée puisque la farce risque de se répéter avec les forces de gauches mouvantes et l’inamovible centre mou.

Mais, attendons pour voir ce qui peut-être mal acquis.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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