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Idée du passé pour le futur

A croire que l’idée fondamentale de qui se dit souverainiste, est de faire valoir le déclin de la France.

Et celle-ci a la particularité d’être ainsi puisque lesdits ne sont pas aux commandes.

Comme il s’agit bien souvent d’homme-femmes de pouvoir, l’on aimerait bien savoir ce qu’ils elles ont sauvés dans leur espace…

Encore un bel exemple de la possibilité de ne pas faire durer les choses – obsolescence dit-on.

Hier, un ballon d’eau chaude durait 30 ans au minimum.

Aujourd’hui c’est seulement 10 ans, et encore avec un peu de chances.

Il y a bien, comme hier où c’était obligatoirement normal, l’entretien de la chose elle-même.

Pour le faire bien, il faut le faire tous les deux ans.

Et, le paradoxe est que chaque coûte la 1/2 du ballon.

Avez-vous bien compris ? C’est rigolo, un des constructeurs de voitures de luxe sort sa première hybride.

Elle propose 40km d’autonomie électrique.

C’est beau le progrès à la portée de tous.

La démocratie, c’est bien, surtout lorsque l’on tient compte des avis des personnes.

Et c’est ainsi qu’une grande affaire des prochaines décennies risque fort d’être dévoyée.

Il s’agit de savoir si le recul de l’âge de départ à la retraite est voulue ou non par les français.

Demander leur avis aux retraités sur ce sujet, c’est comme si l’on faisait parler les morts ou les nouveaux-nés.

Sans surprise, ceux qui sont pour le recul sont ceux qui ne sont plus concernés : 34 % estiment qu’il faudrait repousser cet âge à partir de 65 ans alors que 46 % des 24-36 ans et 66 % des 18-24 ans estiment qu’il devrait être ramené à 60 ans voire moins.

Mais, encore une fois, si le mot Égalité a encore un sens face aux finances, ce n’est pas l’âge qui compte mais le nombre d’années effectuées.

 En effet, un jeune apprenti de 16 ans devrait pouvoir espérer partir plus rapidement qu’un adulte finissant ses études à 28 ans pour commencer à travailler.

Mais comme les premiers sont plutôt enfants d’ouvrier ou blouse administrative et que les derniers sont plutôt enfants de cadre supérieur et plus.

L’on devine bien la suite.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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