Et si…

Et si le combat actuel était une lutte d’influence pour ne rien changer et continuer à profiter ce qui à ce jour donne profits ?

Demain, c’est 2050, dans 32 ans, 10 000 000 000 de personnes, 10 milliards d’êtres humains devront avoir le droit de se nourrir à égalité et non pas les uns se serrer pour avoir plus chaud regarder les autres se gaver pour être plus individualistes.

Et n’allez pas croire que cela concerne l’intérieur d’un pays développé mais bien les sous-développés VS les développés.

Ce serait mieux que les deux ne fassent plus qu’un solidaire tous ensemble, Ouais ! Pour cela la production alimentaire devra se développer sans extension des terres agricoles actuelles pour empêcher toute déforestation néfaste.

Mais, au-delà, il nous faudra à nous pays riches, sans regard de notre pouvoir d’achat, accepter de moins, nettement moins manger de viande surtout pour ce qui concerne le bœuf, qui est de la vache, l’agneau même pas de lait et la chèvre de M. Seguin.

Par contre, il faudra augmenter les ressources en poisson ce qui devraient plaire à nos pêcheurs actuellement bien mal en point mais dont on tait le désespoir d’une violence de grosses compagnies étrangères détestant rester dans ses frontières que pourtant elles réclament à corps et à cris pour d’autres marchés.

Les besoins alimentaires devront être réorientés vers le végétal sans pour autant écarter l’animal si on ne lui fait pas de mal ; style hamburgers 75 % bœuf et 25 % champignons ou osso bucco de carottes.

Il existe bien désormais sortis des placards de personnes bien rencardées des steaks végétales.

En somme, moins d’extension tout azimut pour une production plus productive que ce soit sur terre ou mer…  En espérant que les exploitants utiliseront des produits naturels et qu’ils ne seront pas financés en aides gouvernementales pour faire autrement : attention lobbies en (mal)vue…

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