Vous croyez connaître bien des choses. Mais avec le temps qui passe, vous constatez chaque jour qui se fait que vos connaissances sont bien faibles face à l’imagination humaine.
Ainsi, d’un héritage venant comme l’on se doute d’une personne étant passée de vie à trépas, il a été décidé l’abandon d’un héritier au profit de l’autre plus déshérité si l’on en croit ses conditions de vie.
Il avait été pensé que le peu qu’il y avait à récupérer lui permettrait de mettre un peu de beurre dans ses épinards ou tout autre produit préféré.
Mais, si attendez c’est possible, il n’y a pas de lézard.
Mais, car il y a toujours un mais dans la la jungle du labyrinthe fiscal, celui qui se désiste devrait néanmoins payer les droits de succession comme s’il ne se désistait pas.
Entendez-vous bien ? Ou plutôt vous avez bien lu que les impôts n’entendaient pas lâcher sa part sous prétexte que cela pourrait profiter un peu à une personne vivant du minimum social de sa retraite après une longue vie de labeur.
Mais, je m’égare tout le monde s’en fout.
Voilà parmi tout ces milliards jetés au vent pour soutenir un capital désuet d’un autre temps, il n’y a pas quelques euros pour tenir compte d’un bien être social.
Le Pib est calculé selon une valeur ajoutée financière.
Il n’est pas question d’un remplacement pour un baromètre du mieux vivre.
Pourtant, une société humaine serait nécessairement plus solidaire.
Et, nous pouvons parier que dans les années qui viennent nous en aurons bien besoin pour affronter ce qui pourrait bien être le pire si nous ne changeons pas notre manière d’être.
Attention, je ne parle pas des ayatollahs de tout bords et discipline du n’importe quoi.
Il ne s’agit pas de remplacer une domination du Capital par celle d’un totalitarisme fusse-t-il vert.
Non, chacun doit pouvoir adhérer en toute liberté et conscience au comment de ce qu’il pourra faire pour que tout le monde vive mieux y compris lui-même.