Droit ou pas

Nous avions du, pour certains d’entre nous, alors que d’autres souriaient sous cape de ne pas se sentir concernés, subir la loi du plus fort : c’est ça ou rien.

Avant, un article passait, l’on touchait ce qui était du.

Ensuite, si réédition, il y avait, cela s’appelle repasse dans le jargon bien plissé, un % du premier revenu était donné à chaque fois.

Désormais, le premier prix touché englobe l’original avec ses, désormais, nombreuses repasses.

 À votre avis qui perd ?

Le lecteur à qui l’on refourgue maintes et maintes fois du réchauffés mâtinés de petites nouveautés pour faire t’a vu ça n’y était pas.

L’auteur à qui l’on dit petit veinard et oublie d’augmenter, en (re)passant, les prestations.

À votre avis qui y gagne ?

Et maintenant rebelotte, mais cette fois-ci à grande échelle, chez les plus riches et les plus grands.

Le patron qui n’en a rien à faire des petites mains créatives, cherche à tout et à tout prix de mieux s’enrichir afin de dépasser celui qui lui rit au nez en le dépassant dans tous les comparatifs ; c’est lui qui a la plus grosse.

Foutaise, de ces jeans foutre qui pense que leur art n’est pas du lard, cochon soit mal y pense.

Le bras de fer est levé, à chacun ses biscoteaux et tout le monde d’attendre avec patience la suite de cette série dont nous serons touchés par des droits incertains tant que d’autres bafouerons impudemment les droits des autres.

Au fait, sait-il ce grand homme, riche mais moins que son homologue crésus va-t’en guerre, qu’il aura de quoi grossir grâce à la sortie des valeurs mobilières de l’assiette son ISF.

Mais, il est vrai comme son voisin !

en parlant de valeurs mobilières, et en pariant que cela va relancer la croissance via l’investissement de nos Pme et Pmi, cela est un leurre car la recherche d’intérêts bien compris irait plus sur un engagement de multinationales exerçant pour la plupart leur art hors de notre si chère douce France.

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