Fait divers dans le clan Hallyday
Tout le sait et si vous ne le saviez pas je vous l’apprends Johnny Hallyday est mort en décembre dernier.
C’est un drame se perdre son conjoint, sa conjointe et les tabloïds nous rappelle que son épouse, Lætitia inconsolable et certaines joutes même qu’elle a été abandonnée par ses proches en Californie.
J’imagine qu’elle doit avoir, comme le dit, « le moral dans les chaussettes ».
Mais, il faut tout le même relativiser, comme l’a écrit Françoise Sagan « Quitte à pleurer, il vaut mieux pleurer dans une Rolls que dans une 2 chevaux ».
Combien de veuves, de veufs arrivaient à vivre (survivre) avec 2 revenus et se trouvent totalement démunies lorsque l’un des deux disparaît.
À la tristesse de la perte de son conjoint s’ajoute des difficultés financières parfois impossibles à gérer.
Ce n’est pas le cas de Lætitia et de ses 2 petites filles, cela n’enlève rien à leur peine, mais on a l’impression que leur peine est supérieure à celle des autres.
Que l’être cher perdu soit est une star de show-biz ou le plus pauvre des pauvres, la tristesse, le chemin du deuil, cette sensation de vide, de conversation interrompue,… est identique pour tout le monde.
Avec un plus pour la veuve Hallyday, elle n’aura jamais de problèmes d’argent, avec un moins la presse passe-temps à étaler au grand jour, photos à l’appui, sa vie privée, mais ça reste un fait divers.
Et maintenant avec la contestation du testament par les 2 premiers enfants du chanteur, la veuve Hallyday n’est pas près de retrouver calme et sérénité.
Que vaut-il mieux faire son deuil en étant pauvre et tranquille ou riche et épié ?
Bien entendu, c’est une question sans réponse !