Déjà les kiosques en grand nombre ont fait partie de ces suppressions face au nouveau royaume d’internet.
Alors, il est normal que les organes de presse s’organisent pour contrer ce désastre annoncé.
Et, le mauvais dans tout ça, c’est que certains très riches en profitent pour faire leur marché et imposer leur loi.
Mais, d’un autre côté, une faveur leur est donnée.
Malheureusement méconnue faute d’une communication efficace.
Pour tout nouvel abonné, les taxes tombent, ce qui fait moins pour les participants en espérant que ce ne soit pas pour vider les caisses sociales.
Mais, est-ce pour cela que l’un de mes hedo se fait un honneur de porter en chaque première de couverture « exemplaire abonne. Ne peut être vendu ».
Et à quoi cela sert-il d’autant plus que d’autres n’obligent pas cette personnalisation ? Et le cocorico se fait retentir dans les prés des bobos.
Le taux de chômage , n’a jamais été aussi bas.
Mais, il est dommage que le corollaire soit des salaires toujours aussi bas qui ne permettent pas de bien vivre au-delà du 10 du mois qui court.
Ainsi, malgré le manque de salariés à leurs bottes, les patrons ont réussi le passe passe de faire croire qu’ils embauchent et que c’est bon pour les petits.
Les premiers ne peuvent que se féliciter de ruissellement à la mode de l’illuminé.
Les seconds, eux sont fiers de voir qu’avec le pognon de dingue du qui qu’il en coûte les entreprises voient leurs bénéfices fleurir.
C’est un bon cru que ce beau millésime.
Les salariés n’en profitent pas ? Ils n’avaient qu’à se former pour gagner plus et investir en conséquence.
La boucle est bouclé.
Les temps sont propices à la déclaration officielle de leur candidat préféré, espéré et attendu.