Pourtant, pendant ce temps là, des ados, presqu’enfants souvent, se joignent aux adultes pour crier lur désespoir de ne pas être entendu et de ne pas pouvoir vivre dans la paix et la sérénité.
Oui, bien sur, l’on pourrait se rassurer en affirmant que les torts sont partagés mais, tout de même, à y regarder de plus prés tout en restant suffisamment éloigné pour conserver un minimum d’objectivité, force est de constater que les uns ont obtenu le droit au pays tandis que les autres qui s’y trouvaient également ont été enclavés sur un territoire sans grand droit à avoir.
Et surtout peut-être, la comparaison du nombre de morts de blessés d’un côté comme de l’autre et à l’unisson des forces armées en présence ce qui laisse vraiment entrevoir un net déséquilibre qui dure depuis bien trop longtemps.
N’est-il donc vraiment pas possible de vivre dans une meilleure entente, si non bonne, chacun chez soi à l’abri d’un consentement mutuel sans rechercher à conquérir des terrains qui obligent d’autres à fuir ou à combattre pour rester vivre dignement ?
Et les symboles religieux, puisque toute religion porte la volonté du bien être de tous dans le respect des croyances de chacun, pourquoi accepter tant de provocations sentant plutôt le chant de guerriers voulant faire savoir qu’ils sont plus forts et que les plus faibles leur doivent soumission ?
Mais, il est clair et certain que cela ne peut justifier les innombrables actes de terrorisme qui se répand comme feu aux poudres d’une volonté incertaine.
Croyez ce que vous voulez, mais n’imposez pas votre diktat aux innocents qui vous laissent vivre.
Et pour ceux qui demeureraient coupables, tentez plutôt une réconciliation non pas sur la vérité de l’existence d’untel ou autre ou sur la meilleure façon de vivre ici bas pour mériter une croyance d’un au-delà meilleur, mais pour accepter que la Vérité n’est qu’à la mesure de sa croyance et que l’autre a droit à cete existence ici et la-bas.