Chiens, chats
C’est bête, mais à chercher on trouve quelques similitudes parmi ceux qui sont en haut de l’affiche. Dans le groupe de chanteurs, l’on peut penser à ce jeune garçon guitariste jazz manouche de sa préférence dont la mère, qui jeune se sentait bien seule, disait combien il était difficile, même à un fils de bonne famille reconnue, de percer dans ce monde si narcissique.
Mais, après une colère d’adolescence qui a duré bien longtemps, il s’est fait ressemblance avec son pater.
Cet autre filmeur à son tour dans la grande lignée familiale.
Ou en sport, qui m’aime me suive, et dans le clan familial je demande le grand qui met dans la raquette alors que le père s’était fait connaître pour une autre.
Ce footballeur, jeune espoir de sa nation, d’autant plus que son papa poule veille sur son œuf d’argent. Mais rassurez-vous cette consanguinité existe partout, dans tout et tous les pays.
D’ailleurs, l’on sait bien qu’un fils de cadre devrait l’être sans grand effort si ce n’est vouloir dépasser son modèle et, en contrepartie, pas aussi évidente lorsque l’on en fait partie, un fils d’ouvrier le restera lui sauf si derniers disparaissent dans la caisse des emplois de l’oubli ; alors, pour les consoler, ils porteront blouse blanche comme cela se fait de plus en plus dans les ateliers de mécanique automobile.
S’ils ne suivent pas, c’est qu’ils n’ont rien compris et pôle emploi sera leur nouveau toit.
Et dire que pour casser ces lignées dynastiques, la Révolution fût faite. Mais d’évolution en évolution, la roue a tourné, aussi, désormais, c’est le gouvernement qui s’en mêle afin d’éviter de chuter et tant pis pour ceux qui ne suivent pas.
L’enfer est pavé de bonnes intentions et cela devrait, tout à fait normalement, faire de belles autoroutes et dérivations pour toutes et tous.
À chacun-e-s son Gps selon ses capacités et affinités.