Et voilà, c’est fait : une société privée se montre aussi forte qu’un état, une action.
Elle décide de créer sa propre monnaie pour générer encore plus de collectes de données des habitudes de vie de ses utilisateurs.
Et, ainsi, engranger encore plus de profits et ainsi le cercle vertueux pour quelques-uns se profile à l’horizon.
Tous les autres ne pourront que constater les dégâts : pour eux il sera bien trop tard.
Libre à vous de faire ce que vous voulez.
Mais vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenu par ce totalitarisme annoncé.
Pour ceux qui hésiteraient encore de reculer de peur de rater le train qui ramènerait en voie de parcage, rappelez-vous que si la démocratie, ce n’est vraiment pas terrible, il n’existe pas d’autre système pour permettre la liberté et le bien vivre des populations concernées.
Encore faut-il savoir choisir son élu qui n’est pas forcément de cœur.
Dans un précédent j’avais osé me moquer d’Une en page internet d’un grand journal qui sur le thème Politique parlait de sport.
Or, vient de nous arriver une histoire à dormir debout après un repas bien arrosé entre un qui était encore grand dirigeant du monde du foot et l’autre qui n’en était pas moins l’élu au grand cœur sauveur de la France comme il l’avait été d’un crêche hors saison de Noël.
Mais, ce fait hautement politique, a été rapporté dans les pages sportives d’un autre quotidien.
Tout est dans tout, c’est pourquoi les journalistes sont partout à y perdre leur latin.
Mais l’essentiel est que ce qui doit être dit le soit, vive le sport, vive la politique et que vive la vie.
La politique, c’est aussi une certaine porosité entre les insoumis dont certains n’hésitent plus à dire leur pensée de revêtir la chemise brune pour faire obstacle à l’illuminé.
Drôle de façon de vouloir choisir entre la peste ou le choléra.