Je ne prendrai plus le train : il est trop usagé.
Avec la Sncf tout est possible, même de faire travailler à force de prime des salariés sur une durée indéterminée.
50 % du salaire qui ne rentre ni dans le calcul de la (future) retraite ni dans les allocations de la Sécu en cas d’arrêt de travail.
Et, en plus, on leur infligera un délai de carence pour leur faire bien comprendre qu’ils auraient bien tord de s’arrêter pour un oui ou un non.
L’employeur préfère les voir en grève.
Ainsi, dans les médias, la communication passe sans s’arrêter sur les quais.
Intéressant cet avis d’un syndic professionnel de dire de ne pas aérer plus de 10 mn par jour pour éviter la déperdition de chaleur nuisible aux économies d’énergies et d’argent.
Mais, alors, pour la Covid comment faire pour suivre les conseils avisés des soignants demandant d’ouvrir les ouvrants au moins 15 mn toutes les heures.
Un choix vraiment cornélien qui pourtant devrait se tourner direct vers le porte-monnaie à ouvrir le moins possible.
L‘un de mes voisins, ils sont nombreux, était fier de son nouveau système d’ouverture du portail principal de sa propriété.
Il suffit de mettre son œil devant la caméra à cet effet, et hop, la porte s’ouvre.
Seulement voilà, son ophtalmo l’a obligé de se faire opérer.
Du coup, il ne peut plus se faire ouvrir à l’œil: il a du payer.
A l’Edf, il n’est pas sûr que les bureaucrates soient des lumières.
En effet, dans leur plan de soulagement de leur énergie, ils ont inclus, dans les zones à toucher pour l’interruption provisoire d’électricité, des points de production de leur propre énergie.
Et pas un n’a eu l’étincelle de tout éteindre avant qu’il ne soit trop tard.
Enfin, maintenant, ils sont prévenus.
Deux, paraît-il, intellectuels français se sont partagés les pages d’un bouquin écrites à une main.
Les uns font le ban des louanges dithyrambiques de ce partage qui n’a rien à voir avec une volonté verte.
Les autres mettent au banc de l’infamie ce qu’ils appellent la haine de l’autre.
Forcément, tous ont raison.
Il suffit de savoir où est son camp.