Être premier de cordée, c’est compliqué.
Il faut avoir la tête droite devant pour prévenir les événements.
Mais il faut l’avoir aussi derrière pour savoir qui suit.
A défaut, les ennuis pleuvent sans lien de cause à effet du dérèglement climatique.
Ainsi, notre réélu, na jamais su s’entourer.
Mais, il est vrai que son garde du corps disparu, il ne peut prétendre tout voir.
Et, le chef de son cabinet en profite à son avantage.
Et son chef du droit veut continuer à guider ceux qui pourraient le traîner en justice.
Comme il dit, il est un justiciable comme les autres.
Mais peut-être que les autres comptent un peu moins ; ne serait-ce que par manque d’informations.
Mais, il est vrai que le réélu ne peut tout faire.
Montrer l’exemple du port du col roulé ou de la doudoune est de son réconfort.
Laisser dire que les coupures de ballons d’eau chaude pourraient être possible si besoin.
Mais obliger les entreprises à faire, ce serait discourtois.
Tout comme supprimer l’électrification des enseignes lumineuses ou autres gadgets publicitaires seraient de bon aloi ; mais chut, il ne faut pas le dire cela fâcherait nos géniaux penseurs du gouvernement.
Il était une fois, un patron fier de sa grande réussite.
Il avait profité des désordres d’une guerre pour s’enrichir abusivement.
Et, bien entendu, il proclamait haut et fort, que ses somptueux bénéficies, étaient précaires, aléatoires.
Alors, il ne pouvait mettre en danger le futur.
C’est pourquoi, il entendait bien ne pas répondre aux revendications de ses salariés d’une augmentation honorable, voire d’une prime en correspondance à son enrichissement.
Et, de toute façon, les gens, en dehors étaient pour lui, fatigués des queues à n‘en plus finir d’une attente à la pompe afin d’être servis.
Car, voyez-vous les gens, s’ils se sentent pris à la gorge, n’espèrent plus rien d’autre que de ce dont ils ont besoin.
