C’est reparti
Comme pour le marronnier dont je vous ai déjà parlé au sujet du Bac, c’est reparti sur les affaires.
Ici, c’est du lourd puisqu’il s’agit de notre premier justicier chargé de faire passer une loi sur la probité des élus alors qu’il est lui-même sous la menace d’une occupation d’emploi fictifs dénoncée par un collègue, certes de d’extrême droite, mais tout de même.
Mais le malin réfute, s’en prend aux journalistes qui se risquent à en parler, fait la nique à son pourtant supérieur hiérarchique.
Ha qu’il est fier le gascon, droit dans ses bottes comme un autre de ses copains, même après avoir lu un bel article déchaîné lui apprenant qu’une de ses ouailles confirmait les dires d’autant plus qu’il est personnellement impliqué puisqu’il s’agit de lui.
Et pourtant, le déjà presque plus ministre, persiste et signe car il sait mieux que quiconque qui fait quoi. Et si ceux chargés de faire n’y comprennent rien, le brave ne peut décidemment rien !
Mais la rumeur aura-t-elle du sens après les législatives, le premier aura-t-il l’audace d’écarter ce bien gentil phénomène bégayeur à ses heures perdues ?
La réponse devrait être oui, si la majorité est vraiment majoritaire car alors plus besoin de faux compromis embarrassants.
En ce sens, cette majorité majoritaire aura du bon, car elle permettra la disparition d’un ancien qui ne faisait vraiment dans le casting d’un renouveau volontaire politique.
Mais, le revers de la médaille prouve qu’un régime totalitaire, même avec un vernis républicain, peut-être vite mis en place tant il est vrai que chez ces gens-là on n’accepte pas les dires des autres s’ils n’encensent pas le roi, élu de surcroît.
Et, c’est marrant comme c’est bizarre : l’histoire en cause fait également remonter la volonté de la presse d’être seule libre, troisième pouvoir que personne ne pourrait lui être contestée ce qui reste louable jusqu’au moment où les concernés n’acceptent pas que leur disent qu’ils sont plus que limite dans l’exercice dudit pouvoir…