Réflexions

C’est dit, reste à faire

Elle avait dit au revoir papa, elle change de stature pour le rejeter dans les confins des oubliettes d’un parti dont elle veut changer le nom.

C’est radical comme posture de rassemblement national.

Le encore ce qu’il est était un fourre-tout de l’extrême droite, il aurait ainsi vocation à être un fourre-tout de la droite extrême ; c’est l’autre chef coq qui va en faire une tête lui qui pensait pouvoir lui tenir la dragée haute.

Et notre impérieux, fier de son effet, devant un parterre d’étudiants d’écouter un président parler aussi bien d’une langue en Brexit, affirme qu’il faut s’affranchir des règles alors qu’il cesse, en son pays de France, nous imposer les siennes à coup d’ordonnances sans respecter le serment d’Hippocrate auquel il n’a jamais fait allégeance faute d’avoir fait ses études en ce sens.

Toujours dans la démocratie, il a fait changer ses statuts pour rester maître à vie et tant pis pour ceux qui ont donné leur vie pour une révolution qui devait changer un monde pourri.

Entendu notre impérieux, qui juré promis à l’étranger il ne parle pas de politique intérieure, dire devant des expatriés ébahis, mais peut-être était-ce sous le coup de la forte chaleur régnant dans ce monde, qu’il continuerait le train de réformes annoncés et que cela ne s’arrêterait pas à cause de journaleux commentateurs fatigués et grâce au soutien en masse de la population en délire.

Ainsi, pour le napoléonien impérieux, lorsque questions fâcheuses il y a il se retranche sur sa règle d’or pour y déroger lorsque cela l’arrange.

Mais c’est vrai qu’il est cohérent avec ses dires révélés plus haut aux étudiants de bonne famille qui n’étaient pas présents pour l’enquiquiner.

Ah ces braves de bonnes familles, qu’il viennent en France, du moins les plus méritants et gagnants pour d’une part remplir le quota d’immigrés à recevoir et d’autre part faire comprendre aux trublions de France qu’il y a beaucoup de servilité ailleurs pour se laisser enquiquiner par des enfants de révolutionnaires attardés.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

Laisser un commentaire

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page