Ce n’est pas un conte
La confrontation tant attendue de la Belle et le Bête s’est passée.
La bête, égale à elle-même, a fait front tête baissée en clamant n’importe quoi ayant oublié le pourquoi de son texte préalablement écrit par les sbires à son service dévoué.
Mais ses âneries, voire pitreries ont glissé sur le manteau digne de la Belle.
Son but n’était pas de démontrer les outrances, les contre-vérités lancées à son égard car la bête savait comment y faire.
Il y en a même qui ont rigolé.
Un gamin haut comme trois pommes a même dit que c’était plus drôle dans ce vieux cirque avec ce monsieur déloyal qu’avec ses jeux vidéos.
La belle a prouvé qu’elle avait un programme en main, même si les clés étaient encore à chercher.
Si l’homme a prouvé comment il éta resté bestial à son âge avancé, la femme a prouvé que oui, dans le plus puissant état terrestre, elle pouvait diriger le pays.
Enfermé dans ses contradictions, la Bête a râlé contre les procès intentés à ceux qui ont failli défaire le Capitole avec la démocratie en prime.
Elle n’a pas vu que la porte ouverte par son adversaire avait pour but de le coincer dans une cage pour animal féroce.
Chacun jugera le temps qu’il faudra avant de le faire (re)sortir.
Les fondations s’écroulent chez les compagnons.
Ils croyaient en leur père.
Elles le subissaient autant que ceux qui ne voyaient que le symbole le chérissait.
Bien sûr, il faudrait que partout soit appris la sexualité.
Mais cet homme qui n’avait de sain que le sein qu’il prenait dans sa main sans aucune permission, savait pourtant qu’une femme devait le respect.
Mais que croyez-vous qu’il advint de Marie ?? Le gouvernement avance ; son chef de file a pris son temps.
Il affirme qu’il y aura des gens de tous bords mais pas de Npf, ni Fn.
S’il embarque des personnalités du Modem, pour lui ce sera des gens bien de gauche.