Ça y est, fini
Nous sommes en 2023, mais, les jeux sont faits pour le titulaire du bail du château doré de la capitale.
En 2027, il sera obligé de se retirer.
Et, aucun 49.3 ne pourra le sauver, même si des scénarios fous ont pu être imaginés par des journalistes ne manquant pas d’imagination.
Aussi, le petit 1er de l’intérieur ne se retient plus.
Il fait champ plein pour porter sa parole et faire savoir que le peuple pourra compter sur lui puisque le calife de l’instant n’a pas voulu le faire vizir.
Mais, surprise, entre gens de bonne compagnie s’entendant si bien, la cheffe de lui, qui n’a pas voulu lui rendre place, s’est invitée à la sauterie.
Manière de dire que quelque soit son grand destin, vanté par un déchu, il est et reste à son service à part entière.
Ah, ce féminisme outragé n’en fini plus de nous embarquer dans un matriarcat mal venu pour l’homme, même nain, qui voudrait bien grandir un peu.
Ça y est, le gouvernement, par via son jeune à dents longues que tout le monde croit bien éduqué, a lancé son combat dans l’urgence.
En effet, l’urgence de la rentrée scolaire serait l’interdiction intégrale de l’Abaya.
Sans rien dévoiler, ce cache pas toujours misère, serait une intention religieuse mal venue.
Pour certains, rien à voir avec un effet de mode s’imprégnant sur de jeunes ados en mal de différence pourvu que l’on puisse intégrer un groupe bienvenu.
Si l’interdit est du au fait religieux, est-ce que la Kippa, la croix, religieuse pas d’autres, chapelet, et autres seront interdits eux aussi pour ne point discriminer ? Des jeunes filles affirment ne pas être rentrées dans les ordres pour porter cet habit qu’elles considèrent simplement facile à porter, et permet de cacher quelques rondeurs que le miroir ne veut voir.
Entendrez-vous ?