Brexit, Pipe…
Les britanniques, îliens s’il en est, qui croyaient gouverner le monde, n’en finissent plus de vouloir quitter l’Europe si lointaine à leurs seules conditions de divorcée outragée.
Tous ce sont réunis contre leur représentante qu’ils avaient envoyée au feu en leur nom.
Partisan ou non de l’Europe, partisans ou non du Brexit, une majorité jamais trouvée jusqu’alors s’est retrouvée dans un refus commun dudit accord qui usurpe si bien son nom.
Alors notre seigneur illuminé va faire valoir ses petits bras à grosses paluches.
Mais pour préparer le terrain il envoie son premier boxeur puisque son porteur d’armes s’est fait bêtement prendre à taper sur un couple de touristes en marge d’un événement qui ne le méritait pas.
Et comme cet homme la est vraiment polyvalent, il dit ce qu’il pense d’une volonté de rétablir l’Isf qui pour lui serait une ânerie vu que c’est lui qui a eu le courage d’en sortir ses petits et grands amis.
Il a même dit, délation, que « c’était de la pipe ».
Le bonhomme r^ve tout debout en croyant que l’on va s’agenouiller.
Et puis comme l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, il valait mieux surveiller ses arrières gardes dés fois que comme un de ses anciens il fasse bonne fortune hors de France tout en y restant dès fois qu’il pourrait revenir.
A propos de revenir, à l’intérieur alors que l’ancien dissident est parti de puis belle lurette à l’échelle d’en marche trop vite, le retour à un 90Km/h serait pas si mal vu puisque les constructeurs de belles autos ne font plus que des sportives.
Les morts n’auront plus qu’à se tordre de rire à voir que l’on se foutait d’eux en express.
Mais sur l’Isf, sur le changement de rue, il ne changera pas, c’est comme ça ! Qui m’aime me suive, qui m’aime pas…