C’est bien, le responsable de notre santé tient à la sienne, il s’est fait vacciné.
Mais nous faire croire dans une première séance que c’est le personnel hospitalier qui le lui propose spontanément, c’est pousser le théâtre un peu loin.
D’autant plus qu’une fois piqué, il fait savoir qu’il s’agissait de la première injection opérée avec ce nouveau vaccin.
S’il voulait donner du grain à moudre à l’opposition, il n’aurait pas choisi mieux comme caricature.
Car comme ton, la date de préemption est bien dépassée.
Mais, bon, il fallait bien y passer pour que le personnel soignant y aille le cœur battant la chamade pour leur héros vivant.
Cela fait penser au combat que ressort opportunément le gascon préféré des français.
L’homme a commis un écrit à son premier de cordée illuminé pour lui faire savoir que ce dernier n’est pas en voie de respecter une promesse de campagne présidentielle.
Et pourtant beaucoup y croyaient notamment les représentants des partis d’extrême droite et de gauche qui se voudrait extrême.
Cette promesse était de mettre de la proportionnelle dans ce qui est un scrutin majoritaire.
Évidemment, il ne s’agit pas de la présidence à s’offrir puisqu’elle ne peut être qu’une.
Sauf peut-être dans une autre république qui resterait à inventer mais ce n’est pas le sujet.
Il est certain que l’illuminé ne verrait pas d’un mauvais œil que son ami obligé soit mieux représenté.
Mais comment peut-il y satisfaire sachant qu’il a aussi déclaré la guerre aux populismes de tout poil.
C’est sans doute pour cela qu’il a demandé à l’homme qui aime bien donner des claques aux jeunes qui l’embêtent, de monter au front sur son beau cheval de bois.
Au moment où l’édile de la culture fait du porte à porte pour ouvrir les musées, le roi de Perpignan décide de lui brûler la politesse.
Ce n’est évidemment qu’une coïncidence n’ayant rien à voir avec la politique politicienne.