Bien acquis
Où l’on voit que l’on ne perd pas vraiment ses repaires d’antan.
En France, la soi-disante noblesse, en comparaison avec les pouilleux, les serfs, s’efforce de toujours renaître de ses cendres comme le phénix de nos légendes ou plus malheureux ces délateurs d’une force tranquille permettant à de joyeux drilles non gauchers d’exercer leur puanteur virile.
Et en pays catalan, bien que des élections soient passées où chacun pouvaient aller et venir déposer leur croyance en urne, le pouvoir unique d’un beau pays de châteaux de sable se rappelle franco de port à une mémoire bien grise que l’on croyait repeinte pour toujours grâce au talent de fous d’artistes n’ayant pas achevé, le temps pressant, leur œuvre confirmant que chacun a du talent pourvu que l’on laisse libre la liberté de s’exprimer, d’être présent même parfois de manière insupportable.
Et c’est ainsi que les esprits régionaux ressortent, mais bizarrement, c’est la mode de l’époque, alors qu’avant était mis en avant la culture force de groupe, c’est la richesse étalée qui prédomine où le pauvre est prié d’aller chercher ailleurs meilleur hospice sous la bannière nous on s’occupe de vos riches, vous de vos pauvres en faisant mine de croire d’oublier que ce sont bien ces derniers qui font fonctionner les marchés vu leur grand nombre.
Il n’est d’ailleurs pas si innocent de voir la soi-disante modernité populaire d’un qui se fait croire journaliste noble défendeur d’un patrimoine du passé dont seuls les hommes de bien peuvent s’approprier même s’ils clament sous tous les cieux des pouvoirs nantis leur détresse de s’y ruiner comme leurs aïeux l’on fait.
Et à chacun de s’accrocher à son pouvoir au dépend de l’autre car comme l’a peut être dit ma grand mère plus c’est dur plus c’est bon et je sais de quoi je parle lorsque j’ai viré ce bon à rien de garçon alors qu’il voulait rester en position sans même consentir à remplir son devoir pour lequel les attributs lui étaient donnés.