Au pays de la démocratie retrouvée

Au pays du flamenco, au secours l’extrême droite revient.

Comment des citoyens, bien sous tout rapports, peuvent-ils vouloir faire revenir l’hydre fasciste – plus que populiste – en sachant ce qui a été fait sous un régime noir ? En fait, ils n’avaient pas disparu ces fanas de chemises noires.

Ils étaient juste enfermés dans la droite pour servir au suffrage et augmenter le pouvoir des braves gens.

Peut-être que certains se sont perdu en voulant (re)mettre à la mode les chaussettes noires du temps de leur Yéyé ? Mais, une majorité a raisonné pour élire d’autres plus supportables d’un passé moins effroyable.

Pourtant ils devront composer avec d’anciens.

Ce qui n’est pas de bonne augure.

C’est même un peu olé, olé.

Et dire, que ceux qui ont été responsables d’un certain envahissement de produits bons à rien, sont désormais victimes de la libre circulation mondiale.

L’orange n’a plus de prix.

Les cultivateurs préfèrent brûler leur beurre plutôt que de le donner.

Pourtant, je me rappelle dans un passé pas si éloigné d’un petit cadeau fait à Noël qui nous paraissait très grand.

Les temps changent, rien ne dure, il faut à chaque fois refaire pour éviter de se faire défaire.

Et c’est ainsi que dans le grand Paris, l’on veut mettre le périph à 70km/h et les autoroutes à 110, et les autres routes à 70.

C’est sans doute le grand bon moyen pour faire face à une vérité : ce n’est pas la mortalité routière qui gêne vraiment.

Mais, plutôt l’envahissement journalier de certains territoire et saisonniers pour d’autres.

Tout est bon, pour obliger l’autre à croire.

Et compris en lui disant que son chien a la rage et que ce n’est vraiment pas bien de ne pas l’avoir vacciné.

La liberté de conscience ne peut exister chez les jeunes pauvres qui seront privé de permis de conduire gratis s’ils veulent respecter leur idéologie non compatible avec l’esprit de démocratie directe gouvernementale.

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