Au bal…
Halloween est passé, notre grand maître barbu premier en a profiter pour raconter sa vie aux petits enfants en recherche de sensations, il semble avoir fait un véritable four…
Ça valse en extrême droite ou, pour faire semblant comme les autres, l’on ne peut même plus confondre drague forcée avec couche-toi là je t’écrase.
De toutes façons, chez elle la madame, y a pas de mal, juste des chamailleries d’enfants en dispute de séparation volontaire.
Pour que la fête soit avec de bons sondages remontant l’estime du chef suprême impérieux, il faut trouver anniversaire à portée mais 2018 résonne trop 1968 et ce serait marrant de voir l’impérieux lancé un pavé dans la mare.
Après les mots populaires aura-t-il la force musculaire des étudiants d’antan ; au fait lui, il était où en ces temps ?
Sa dame historienne lui a peut-être raconté cette années, ce temps béni où beaucoup croyait en un avenir festif, que faire la politique autrement se mettait en marche sans aucun parti pris si ce n’est sur les riches que l’on obligeait à partager le gratin au sortir du four sans se contenter des miettes d’un repas de ruissellement.
Mais, c’est tout de même plus marrant Outre Atlantique où joindre l’utile à l’agréable est tout un art que le chaland n’hésite pas à consumer d’un pétard pas mouillé ayant atteint sa cible en pleine église pastorale bondée.
Le pasteur, père d’un ado écroulée – ce qui fait mieux comprendre l’insistance catholique pour le célibat – a vite compris qu’il lui fallait juste changer le thème de son office.
De toute façon, le mariole qui leur sert de président se fout des armes de poing il préfère nettement s’amuser au nucléaire avec son voisin.
C’est plus fashion par rapport à la tenue de son rang pour faire en vive intelligence la bombe.
Assurance auto : comparez et payez moins cher