Pauvres sans cervelle, autrefois balancés comme des sans dent par un qui se croyait assez puissant pour se trouver au-dessus de la mêlée.
Si vous voulez une vie confortable, créez un parti politique pour toucher des subsides sur fonds publics qui auraient dû être de campagne.
Financez un écrivain pour l’écriture à ses seules deux mains.
Et le livre qui s’ensuit vous permettra de vous payer vos faux frais, pourtant bien réels, en plus du beurre dans vos épinards.
Et qui a dit que l’on ne devait pas toucher plus des subventions sociales que de son simple labeur ? Elles étaient riches de certains droits à une liberté plus ouverte.
Mais les envahisseurs au nom d’un dieu dont ils ne comprennent rien, veulent leur retirer ce maigre pécule.
Les hommes tétanisés semblent ne pas pouvoir se bouger.
Alors, les femmes fortes de savoir être elles-mêmes décident de dire non à cette nouvelle oppression.
Pourtant ces totalitaires juraient leur grand dieu, qu’il doit être très petit s’il existe, que la femme pourrait continuer de pouvoir.
Mais, pendant ce temps, la burqa était autorisée obligatoirement et le travail extérieur reste à l’intérieur.
Mais, pendant ce temps là, leurs légionnaires bannissaient du regard les visages dévoilées des femmes qu’ils ne veulent que dans une cage sans ouverture sauf pour respirer.
Mais, il est certains que ces femmes vont recevoir un grand soutien de ce fier politique du sud de la France qui vilipendait ces hommes fuyant le massacre au lieu de jouer les résistants.
Sans doute va-t-il aller jusqu’à, dans sa grande splendeur, lancer une pétition de quartier régional, en soutien à leur juste combat de continuer à manifester sans envahir d’autres contrées étrangères, avec pour contre-partie l’obligation à ces femmes de rappeler leurs hommes à la maison.
Quoi qu’elles fassent, ces dames seront toujours obligées de faire.