J’irai au bureau de vote, certes pour indiquer ce que j’ai décidé dans le plus grand respect du silence démocratique.
Mais aussi pour aider ceux qui seront venus à ce que cette cérémonie soit tenue de manière républicaine.
En soirée, alors que tout le monde aura fait part de sa préférence, y compris ceux qui ne sont pas venus, le dépouillement aura lieu soit en tant que scrutateur soit sur la table de découverte.
Ce sera selon le nombre de bénévoles qui se seront joints pour cette soirée.
Étant donné le nombre de prétendants à la sélection naturelle d’un premier tour, nous ne serons pas couchés aux heures habituelles.
En attendant cela, tous les candidats, ensemble dispersé voulant se faire entendre dans une même parodie d’égalité, vont se jeter dans la bataille de la dernier semaine.
5 petits jours associés aux nuits pour tenter rattraper une campagne bien triste d’avoir eu à subir les effets d’une pandémie non finie et d’une guerre en cours aux portes de notre Europe.
Et, le pire, c’est que les problématiques du climat, de l’insuffisance sociale sont passées au deuxième voire troisième rang des nécessités actuelles.
Or, si la guerre va se terminer forcément un jour, il n’en sera pas de même pour les deux autres.
Pourtant, c’est bien leur résolution globale et particulière qui empêchera les catastrophes à venir.
Vous ne voulez plus d’immigration non désirée ? Sachez tout d’abord que ceux qui le font, y sont, dans leur très grande majorité, obligés.
Alors donnez les conditions durables pour que chacun puisse rester en son pays s’il le désire.
Celui, qui, alors, partira le fera plein de bonne volonté de découvrir l’autre.
Vous voulez que tout le monde vive dans la dignité ? Alors, évitons les grands écarts de capitaux source d’éclatement.
La vraie richesse n’est pas le chez moi, mais le chez nous.