À pareil
La rose ne se plus cueillie au bord du port marin.
Tant mieux, ainsi, pour les touristes concernés les quais et restaurants seront moins bondés.
Mais elle dépend toujours d’un parti qui faute d’être en marche recherchera les clés d’un nouveau départ lors d’un petit séminaire sans ses trublions.
La question se posera de savoir si après avoir prouvé qu’ils pouvaient être de misérables patrons, se souviendront-ils qu’ils sont sensés d’abord d’être sociaux d’un socialisme non pas à réinventer mais plutôt à appliquer.
Les restants, souvent salariés de leur état s’en souviendront.
Mais la vente de leur bateau phare, après le départ de l’amiral devrait permettre un sort peu commun.
Tandis que de l’autre bord, point de question sur un quelconque parti, l’indispensable est d’avance, toujours en marche, tant pis pour ceux qui n’en peuvent plus, ce mouvement restant n’a que faire des faibles et des handicapés.
C’est pourquoi, d’ailleurs, à l’intérieur, ils prétendent s’en faire car ils savent très bien, du moins en ce qui concerne leur maître, que les faibles vont disparaître aux lois du retour à la discrimination positive du plus faible au plus fort.
Dans la troupe, y a pas de jambes de bois, y des nouilles mais ça ne se voit pas.
Une deux, une deux, faut être prêt pour le 14 juillet.
Faire aussi bien, voire mieux que ces ricains débarquant à nouveau, et comme à l’habitude, voulant s’arroger le droit de bien protéger leur plus fort ; comme si, nous, nous ne savions pas faire.
Nous avons pourtant l’avant de mieux connaître le terrain qui est pour un vieux souvenir ou une carte postale de touristes mal élevés partis en goguette.
Ils n’ont qu’à aller jusqu’à Nogent, cela fera marcher le commerce déserté par les habitants reconvertis en juilletistes.
De toutes façons, nous aurons notre revanche en 2014 ; rendez-vous en septembre/octobre…