Les élections permettent à chacun de tenter exprimer son contentement ou sa déception d’un dernier vote déçu.
Mais, attention, avant de prendre un avis extrême, regardez bien dans quelle philosophie ou théorie se situe votre futur candidat.
Malgré les bonnes intentions de discours bien rodés, le naturel (re)vient au galop bien plus vite et soudainement qu’un tsunami en colère.
Ceux qui, en arrière d’un passé qu’ils voudraient révoquer pour les autres, recommenceront dès que l’occasion pointera le bout de leurs envies.
Ils n’y peuvent rien, c’est inscrits dans leurs gênes, leur Adn en quelque sorte.
Prenez, le pays à la botte, ils ont un temps fonctionner sous le tintamarre de celles portées par des hommes en costume que l’on aurait aimerait être seulement carnavalesque, et chacun se rappelle les difficultés énormes à se remettre droit dans ses bottes.
Malheureusement, le peuple n’y comprenant rien si ce n’est pas grand-chose, faute de gens sérieux ailleurs, ils avaient mis au pouvoir un fou de télé.
Le résultat en a été plus de libéralité pour des patrons de pouvoirs qui n’avaient plus vraiment besoin de prendre leurs armes puisque celles du droit leur suffisaient largement, style la légalité de tronquer les bilans financiers de leurs comptes d’entrepreneurs que plus personne ne peut qualifier de mafieux.
Les électeurs, n’en ayant pas assez, ont recommencé en faisant mettre au pouvoir la carpe et le lapin faisant au final une salade de fruits indigestes.
Déjà le symbole du visage antidémocratique se gravait gravement sur les têtes de la partie minoritaire du plus à droite possible.
Puis un virus venant d’un autre pays ayant l’habitude de l’autoritaire mais le détestant de plus en plus, prit ses racines dans un sol meuble favorable.
Alors ces anciens empereurs fous des jeux du cirque prennent une mesure qui rappelle bien leur origine : laisser crever les plus de 70 ans atteints de n’avoir pas été protégés dignement.
Réfléchissez bien avant les week-ends qui pourraient autrement annoncer le printemps…