Je l’avoue, je suis un dangereux activiste.
Heureusement que le gendarme mondial des droits et libertés fait bien son travail pour me le rappeler.
Mais, quelque part, je ne peux m’empêcher d’une certaine fierté.
En effet, me traiter à l’identique du clown Auguste triste et déchu d’Outre Atlantique me va droit au cœur même si je n’aime pas les singeries de cet individu se croyant plus fort que les autres.
Un soupçon d’inquiétude m’envahit tout de même.
C’est au nom de la communauté qu’intervient mon surveillant qui ne m’a jamais été présenté.
Vais-je être exclu de tout ces beaux gentils amis qui m’ont toujours voulu du bien ? Et, pire, mes propres à moi vont-ils pâtir de cette liberté prise à l’insu de leur plein gré ? A partir de quel temps les actes d’hier sont-ils susceptibles d’être atteints par la prescription à laquelle ont droit toutes les personnes susceptibles d’être coupables même les pires criminels.
Tout de même, remonter une information, aussi importante soit-elle, d’une période vieille de 9 ans ne mériterait-elle pas à ce juge totalitaire un peu de clémence ? Et, qui dit qu’à cette époque les standards d’aujourd’hui devaient forcément s’appliquer ? Bon ce n’est pas, au moins, si vous ne le saviez pas encore, vous avez désormais connaissance que l’adresse de mon site internet photos est www.jcbarousse.fr.
Courrez-y vite faire un tour avant que l’anathème ne s’acharne sur moi et me retire ce droit d’exposition.
Qui a osé dire qu’internet est une terre de liberté où tout le monde doit respecter chacun ? Mais, à part cette petite plaisanterie, plus grave arrive sur nos côtes territoriales.
Des individus au nom de leur puissance financière veulent s’arroger le droit de dire le bien et le mal.
Pour ce faire, ils n’hésitent pas à passer sur le dos des états.
Le problème n’est plus que financier mais bien philosophique et politique.
Le totalitarisme nous guette.
Attention à notre Liberté si chèrement acquise.
