les journalistes en avaient besoin de cet intrus qui pourrait bousculer la table pour mieux jouer un jeu plus intéressant.
Ils l’ont trouvé dans la silhouette flette du trublion de l’extrême droite qui quitte son costume cravate d’animateur pseudo journaliste-chroniqueur par le même costume du clown de la République tels certains comiques avaient déjà crevé la scène dans des temps pas si éloignés que cela.
Et ce clown fait cirque.
Il est invité comme un saigneur dans le grand chapiteau de l’un des dictateur de l’est.
Et, sûr, s’il n’avait pas été viré par les électeurs en grand nombre, le clown auguste toujours triste d’Outre atlantique l’aurait couronné au premier rang de son banquet de saltimbanques.
En attendant, il sert la soupe de l’illuminé qui s’en lèche les babines d’un si bon spectacles que les adultes grands enfants de son pays aiment tant.
Mais, après la distraction, vient le temps de la vérité qui est, c’est bien sûr certain, la sienne.
Curieusement, j’ai toujours aimé le cuir.
Ce n’est pas ma nature vache qui prenait le dessus mais je trouvais, pour moi, vraiment classe que de me vautré dedans.
Il en est de même pour les différentes voitures que j’ai pu avoir et que j’ai encore.
Mais, heureusement, les constructeurs avec leurs bons sentiments m’ont ouverts les yeux.
Je ne peu plus décemment accepter de m’asseoir comme un cow-boy sur le cuir tanné d’un ancien bœuf.
Dommage, j’aimais tant le jazz.
J’espère vraiment que, au nom d’un passé bien révolu, ma vieille carcasse continuera de me véhiculer encore longtemps pour que je puisse en profiter sans nostalgie.
Amies les bêtes je vous aime et ne vous tuerais plus.
Un buzz véridique a fait le tour des publications de toutes sorte : l’illuminé s’est fait chipé son code sanitaire.
A savoir, qu’il en a été de même pour son premier collaborateur comme le dirait un ancien.
Mais, pas de panique, l’usurpateur ne peut rien faire d’autre que d’avoir un laissez passer dans les endroits prévus.
A moins qu’il ne lui prenne l’idée de vous rendre visite…