Cela devient dur. Hier, il y avait les clans entre diverses religions en voulant s’imposer aux autres.
Déjà, pour des idées, l’on tentait d’empêcher l’autre d’exister.
Et, les combats pour la liberté ont toujours perduré.
Comme les guerres ont disparu de notre territoire, l’on s’est concentré sur les liberté individuelles.
Et, il semble que la liberté collective ait été remisée aux oubliettes.
Pourtant, sans les autres la vie est impossible même si parfois ces mêmes autres rendent la vie impossible.
Tous les débats sont bons à partir du moment que l’on respecte l’autre, que l’on se respecte.
Pour cela une seule certitude, n’avoir aucune certitude.
La vérité d’aujourd’hui peut être le mensonge de demain.
Mais ne pas oublier que sa propre liberté ne peut empiéter sur celle de l’autre.
Et pas vraiment certain qu’une liberté individuelle puisse bloquer la liberté du plus grand nombre.
Évidemment, s’il faut le dire car cela va mieux en le disant, tout n’est pas arrangé pour autant.
Le conflit du pass sanitaire en est un malheureux exemple.
Quel est le souci à part de voir chaque camp pratiquement insulter l’autre camp dont l’un est remarquablement plus violent que l’autre ; ce qui est une absurdité.
Le problème de la covid, c’est qu’elle ne cesse de muter pour (sur)vivre.
Le seul moyen d’échapper à ce jour à la transmission est le vaccin ajouté, en attendant, aux geste barrière notamment le lavage sérieux des mains et le port du masque en cas de regroupement serré.
Le dernier variant s’attrape beaucoup plus vite que le précédent à cause de sa plus grande force virale.
Et plus il prospère plus il est résistant, plus il atteindra de gens qui se croyaient jusqu’alors épargnés.
Et, il ne se gêne pas pour attaquer les plus faibles, il les emmènera embouteiller les lits d’hôpitaux empêchant la bonne entrée des malades réguliers qui ne pourront plus se faire soigner normalement.
