Urgences

Les évolutions sociétales sont dures à accepter, en tout cas bien plus dures que les évolutions économiques qui enrichissent quelques-uns au dépend des autres.

Pourtant les premières profitent à tous et ceux qui n’en veulent pas ne sont pas obliger de les prendre dans leurs bagages même s’il est évident que dans leur vie de tous les jours, enfin tous les jours, c’est une manière de parler, les contre doivent côtoyer les pour et sans aucun doute ceux qui ont accepté de porter le poids de l’évolution.

Mais qui peut vraiment dire que le divorce, la vie de couple sans mariage, pour ne parler que de cela, dérangent vraiment ceux qui ne vivent pas comme cela ?

L’adulte consentant, n’a-t-il pas le droit d’agir comme bon lui semble du moment qu’il n’interfère pas sur l’autre ?

Et le rôle primordial de la Société n’est-il pas de constamment rechercher le bien être de tous, au lieu de toujours réformer pour obtenir moins, en proposant un maximum de possibilités pour celui, oui, oui, celle aussi, c’est plus qu’évident, qui ne se retrouve pas dans la société étriquée actuelle.

A partir du moment que la science permet sans grands risques, en tout cas pas plus de risques que ceux existants à l’heure actuelle, il est du devoir, de son obligation, d’en faire bénéficier les plus démunis sans distinction aucune.

Un citoyen ne doit pas imposer son point de vue, simplement participer au débat légitime de la société et rechercher toutes les solutions possibles pour faire avancer le bonheur pour tous ; ou, si c’est trop prétentieux, idéaliste, faire reculer au maximum le malheur.

Alors, oui, je suis pour la Gpa, laisser un homme, une femme, une femme et une femme, un homme et un homme décider de ce qu’il(s)-elle(s) doivent faire en conscience comme toute personne qui actuellement met au monde un enfant de la liberté.