Et pourtant, eux, ils ne s’enterrent pas dans des conflits d’ego.
Nous, les nôtres, on risque de les boire jusqu’à la lie.
Le premier tour est passé.
Une fois en lecture cette chronique, le deuxième tour sera déjà dépassé, sans que le futur soit défini.
Mais, une chose est sûr, devant les résultat bord à bord, il y a une écologie égale à elle-même fière d’être exclusive et une autre plus soucieuse de gouverner pour durer.
Deviner qui va gagner.
Celle, et pas celui, qui est certaine de perdre.
Repliée dans ses certitudes, sans aucun espoir d’aller vers l’autre.
Puisque c’est l’autre qui doit aller vers elle qui a raison, fondamentalement raison.
Avant elle, la société n’existait pas, c’était torchon.
Avec elle, c’est je lave plus blanc et vous n’aurez plus besoin de rien.
Et que vive la décroissance.
Certes, me direz-vous, lui ne gagnera pas plus.
Mais, il peut largement, avec ses idées d’ouverture sans oublier qu’il est fondamentalement écologique, participer à une union de gauche, voire plus large, afin qu’une nouvelle société se consacre au vivant et fasse que la Terre vive avec ses habitants.
Mais que voulez-vous, les ver(t)s ne s’aiment qu’au ras du sol.
L’égérie masculin de l’extrême droite n’aime pas certains prénoms mais aime bien le sien qui veut dire, de par ses origines scandinaves, « Souverain ».
avez-vous compris l’astuce ? Dites, expliquez-moi.
Comme beaucoup, nous avons dû faire face à un héritage.
Ce serait sympa s’il ne faisait pas suite au décès d’une certaine personne.
Mais, de plus, il fallait faire avec les impôts.
En effet, sans vraiment tenir compte de quoi que ce soit, il faut les payer dans les 4 mois qui suivent.
A défaut, les intérêts, voire pénalités de retard seront payés et cela va vite.
Aussi, suis-je surpris d’entendre que l’enfant d’un grand géant artiste peintre mort en 1973 fait un don à l’état de certains chefs d’œuvre de feu son père.
Tout cela pour régler ses impôts….
