Et, le porte parole clame, pour parapher un très ancien grand, que tout ce qui est extrême est insignifiant.
C’est l’hôpital qui se fout de la charité même si lui avait parler d’excessif.
Toujours est-il que la dame peut avoir désir d’occuper cette coquille vide.
D’une nouvelle déjà très ancienne puisque datant de la fin du mois précédent, il est fait état du premier restaurant gastronomique solidaire.
C’est un endroit où la bonne bourgeoisie fera grâce à la plèbe d’accepter de cantiner dans un même concert.
Mais, ce qui est étonnant, c’est la qualité désastreuse des commentaires déroulés.
Le meilleur serait de bon goût : « En souhaitant que les effluves de la ville, viennent pas gâcher le fumé du gueuleton » en se rappelant que les techniciens de surface ne paieront pas le prix fort bien qu’ils aient obtenu une nouvelle augmentation.
« Comment tu justifie que ´t’as pas un rouble sur ton compte ? » a le même souci du principe de réalité que « Cette utopie va durer genre 3 mois avant de fermer le rideau…faire confiance aux gens concernant leur argent est une grave erreur.».
« Grenades et pruneaux à volonté , on est à Marseille quand même, il faut respecter les traditions ! » rappelle que pour un restaurant gastronomique, il n’y a pas que l’assiette qui compte.
Mais une palme pour la fourmi qui ne veut pas payer pour la cigale « ça me dérangerait sérieusement de manger au restau comme mon voisin, en sachant que c’ est moi qui lui paye son repas ! ».