Un fil….

En avril ne te découvre pas d’un fil.

Et pourtant si j’ai bien gardé le fil des saisons, ne sommes-nous pas au printemps où les filles sont légères, les hommes en tension ?

Et ces ménagères nous tiennent bien avec ce fil à la patte.

Bien que la concurrence soit lourde avec ces photophones, téléphones et autres grille-pains qui animent notre quotidien.

Et pourtant ce fil, je crains l’avoir perdu à cause de ce qui va se dérouler en mai, ne fait pas ce qui te plaît, dont le premier acte sera pendu au fil de ce doux mois incertain.

Fil de mon histoire, je vais sur mes douze ans, je sais que c’est faux mais je n’aime pas le treize me faisant penser, non pas à ce célèbre espion imaginaire, mais à un jour de malchance ordinaire.

Pourtant, ce fil, nombre en a besoin, ne serait-ce que pour tenter de pêcher une véritable substance non virtuelle.

Quoique, la séparation de l’église n’étant pas totalement réalisée, l’on puisse se rappeler que le premier qui a pêché apprenne à l’autre comment ne pas faire.

En ce sens, je donnerais raison à l’un des soupirants de notre nation qui voudrait rompre un concordat qui se défile tout le temps laissant ainsi une drôle de particularité à une région qui n’en a pas besoin pour se démarquer.

C’est un peu comme dans cette grande île qui n’en est pas une, n’en déplaise à un autre je sais tout, qu’a tout vu, en ne connaissant rien qu’une vie semblable au veau dans sa mer.

Sans doute qu’il n’a pu vraiment couper le fil qui devait le relier juste à temps à cette terre ronde comme l’astronaute perdu dans les airs du temps spatial.

Mais, je perds encore ce fil si important et permettant, notamment, d’en découdre avec les aléas d’un temps qui se défile….